Nombre de Lectures 6510Il rejette catégoriquement les accusations formulées à son encontre, affirmant que les propos visés ne relèvent pas de l’offense, mais d’un « chant pour la République ».
> « Les propos qui me sont reprochés ne constituent nullement une offense mais un chant pour la République dont je refuse la clochardisation par le Pastef », a-t-il déclaré, pointant du doigt le parti au pouvoir.
Dans sa déclaration, M. Diakhaté revendique pleinement son droit à la critique en démocratie, et refuse tout silence forcé :
> « Il n’y a pas de forêt sacrée pour la critique citoyenne en démocratie. Que mes geôliers sachent que la volonté de me faire peur ou de me réduire au silence est vouée à l’échec. »
Dans un geste fort et symbolique, il a demandé à ses avocats de **ne pas introduire de demande de liberté provisoire**, affirmant qu’il est prêt à assumer pleinement les conséquences de son engagement.
> « S’il faut rester une éternité dans ma prison je le ferai, et je resterai toujours droit dans mes bottes et attaché à mes principes républicains. »
Ce positionnement marque une nouvelle étape dans le bras de fer entre l’ancien collaborateur du régime de Macky Sall et les nouvelles autorités issues du mouvement Pastef. Figure connue pour ses prises de position tranchées, Moustapha Diakhaté assume son rôle de vigie républicaine, même derrière les barreaux.
Il conclut son message par un appel solennel :
« Vive la République ! Vive le Sénégal ! »
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