Nombre de Lectures 8316S’adressant aux journalistes, il a rappelé que la presse est « la garantie de la démocratie et de la transparence », avant de regretter que « personne parmi vous n’ait eu ces rapports entre les mains. »
Le premier, explique-t-il, est le rapport de l’Inspection des finances, que la loi de 2012 imposait de déposer dans les trois mois suivant l’arrivée d’un nouveau pouvoir. « On nous dit qu’il n’a été remis que six mois plus tard, déjà une irrégularité de forme. »
Le second est le pré-rapport de la Cour des comptes, également dissimulé au public. Le troisième, poursuit-il, est le rapport du cabinet d’audit international Mazard : « Vous en parlez tous, mais personne ne l’a vu. C’est le troisième rapport caché. » Pour Olivier Sir, le respect de la forme est essentiel à la crédibilité du fond : « Qui a signé ces rapports ? Quand ont-ils été transmis ? Nous n’en savons rien. » Il conclut que « la dissimulation de ces trois documents fragilise la confiance du public, la transparence de l’État et, par extension, la démocratie elle-même. »En savoir plus sur METROACTU
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